Il y a 25 ans, Peter Doherty, l’enfant terrible du rock anglais arrivait avec fracas dans le microcosme du rock (Libertines, Babyshambles…) avec une aura sulfureuse (drogues, alcool, prison..) qui lui collait à la peau comme les docks au pieds. Depuis, rangé et jeune papa, il prouve que son songwriting se bonifie merveilleusement en vieillissant. Un personnage et une voix uniques.
